Fabriquer DES ESPOIRS

qui n’en sont pas. J’ai décidé de participer au challenge #marchmeetthemaker2020, parce que moi, j’aime beaucoup en savoir plus sur les créateurs, dont j’aime le travail. & comme j’aime bien gagner du temps, pour pouvoir faire autre chose, je me suis dit que ça ne serait pas idiot de partager avec TOI, ici le cheminement de ce défi. Enfin au cas où tout comme moi, tu aurais décidé de faire une cure de détox des réseaux sociaux en vue d’un arrêt total, & bien tu auras l’info quand même.

La liste de mes meilleures erreurs

Quand j’ai quitté mon travail d’adulte de la vraie vie, je me disais que ça ne m’éviterait pas les erreurs, mais qu’au moins je pourrais les assumer sans chercher à accuser quelqu’un à ma place comme la pratique le veut dans les lieux où on travaille avec d’autres êtres humains. Je me disais aussi que j’aurais maintenant tout le loisir de les réparer, ou d’en tirer les conséquences. Et je me disais plus récemment que quand tu es employée tu passes beaucoup de temps à parler des erreurs des autres. & quand tu es entrepreneur beaucoup de temps à parler des tiennes. Enfin, quand tu ne ressens pas le besoin de donner une fausse image de perfection. Donc quand tu es ce que je qualifierais d’un ENTREPRENEUR du COEUR.

Le Magasin de SOUVENIRS

Je me souviens. C’était un jeudi. J’étais en formation dans une ville de l’arrière Pays dans le Sud. Ce jour là, la formatrice nous avait laissé sortir plus tôt, sentant que nous avions l’esprit qui battait la campagne. & effectivement elle avait raison. C’était le milieu du mois de septembre. Quand les journée commencent à changer mais qu’il reste une traînée de morceau d’été dedans. Plus froid le matin, mais un soleil encore chaud & requinquant l’aprés-midi. Mais pour ma part je dois bien avouer que mon inattention était surtout dûe à la qualité plus que relative de cette formation. & en même temps, si je réfléchis bien (ce qui m’arrive parfois, parce que je réfléchis TROP, mais pas toujours bien), je dois dire que j’ai rarement assister à une formation professionelle où j’avais l’impression d’avancer, de grandir. Le seul moment de ma vie où j’avais senti  les rouages de mon cerveau fonctionner c’était à la fin de mes études en DEA. Pour la première fois de ma vie je m’étais sentie intelligente ou en capacité de le devenir. Alors que depuis que j’avais découvert le MONDE DU TRAVAIL, je dois bien dire que cette sensation avait pour le moins disparue de mes radars. & ce n’est pas la formation à laquelle j’assistais durant ces trois jours qui allait changer la donne. Je l’avais choisi pensant qu’elle apporterait de l’eau au moulin de mes réflexions. & parce que j’avais connaissance du travail de recherche du formateur qui l’animait. Je l’estimais & il m’amenait à réfléchir & à infléchir mon point de vue, ce qui n’a pas de prix dans cette mer d’opinions dans laquelle nous nous baignons chaque jour.

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